• C'est fou ce qu'on peut faire avec des bouts de bois.

    J'ai utilisé des chutes de contreplaqué 16mm, 21 mm et du sapin pour les pieds carrés.

    Pas de vis. La cloueuse est plus rapide, associée avec de la colle polyurethane.

    Le toit est en ardoise naturelle, collé/vissé sur du CP de 16. Une bande alu autocollante termine l'étanchéité du toit

    Le tout est recouvert d'huile de lin et pour les parties exposées de couleur couvrante.

    On verra ce que cela tiendra, mais au moins, les oiseaux du coin auront de quoi se nourrir cet hiver

    En tous cas, nous allons le placer, quand il sera sec, bien à vue de notre cuisine pour apprécier les allées et venues de ce resto ouvert.

     Pensons également à nos alliés ailésPensons également à nos alliés ailés


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  • Pour soutenir "Francis Lester" qui s'appuyait sur notre vénérable cerisier, installation de pieux de bois traité, traversés de fer à bèton de 8 mm

    Pour les pieux de bois, nous avons choisi de les bètonner en laissant le moins possible de bèton apparent.

    Le trou est, dans ce cas, de 40 cm de profondeur sur +/- 20cm de largeur. C'est largement suffisant. (Certains préconisent 1/3 de la hauteur totale)

    En découpant le fond de gros pots de plastique, nous les passons à l'envers dans le pieu et laissons afleurer le dessous.

    Ensuite, nous coulons un bèton ( tout préparé ) dans le fond du trou, puis à 20 cm de la surface, nous installons le pot retourné pour que le fond affleure la surface et remplissons le pot de bèton.

    La terre sera ramenée sur le tout et ne laissera apparaître que le minimum de bèton, bien arrondi dans son pot.

    Encore un détail... ne pas oublier de bien protéger,( avec du Black Varnish par exemple ), le pied du pieu, noyé dans le béton.

    Cela le protégera facilement entre 5 et 10 ans.

    L'après PrunusL'après Prunus   


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  • Quel belle référence, ce jardinier


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  • Comme chaque année, notre VIBURNUM nous gratifie de ses jolies trompettes, et cette année, il est particulièrement florifère.

    Viburnum


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  • Quand nous plantons des arbres, nous le faisons, comme (presque) tout le monde, sans penser aux inconvénients inhérents à sa présence. Nous ne voyons que sa beauté future, son ombre salutaire et sa présence rassurante.

    Alors, le jour où nous devons nous en défaire, simplement parce qu'il vieillit, qu'il fait courir des risques aux plantes avoisinantes, qu'il risque de provoquer des dégâts aux éléments de construction qui lui sont accolés, cela fait mal !!!

    C'est ce qui nous est arrivé avec un cerisier du Japon que nous avions planté en arrivant dans notre nouvelle maison en 1979. Ce Prunus nous avait été offert par la commune pour la naissance de notre fils aîné. Après 42 années, il commençait à pourrir à cause d'un lierre qui l'enserrait et qu'on a, négligemment, laissé grandir. Alors, il a fallu, malheureusement, se contraindre à l'enlever en se rappelant de ses floraisons lors des communions des enfants, et devant lequel nous prenions des photos souvenirs.....(Ca y est, je verse dans le pathos..) 

    On ne nous y reprendra plus de planter aussi près de la maison. Merci Prunus

    Couper un arbre


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