• Si vous voulez rafraîchir votre vie avec une jolie plume, je vous conseille vivement ce livre de Dominique Louise Pélegrin.

    Vous avez le sourire quand vous le lisez, et cela vous donne encore plus de forces pour "potager" chez vous.

    Bonne lecture


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  • Article de Gauthier Baudoin sur la sélection des semences
     
    La grande saison des semis a débuté pour le jardinier qui doit maintenant faire le choix des variétés qu'il cultivera cette année au potager et se fournir en semences.
    Dans ce domaine comme ailleurs, les choix des consommateurs déterminent toute une filière de production et de distribution. Un acte de consommation n'est jamais anodin et particulièrement lorsqu'il s'agit de nos relations à d'autres êtres vivants.
     
    Dans le domaine des semences potagères, les variétés hybrides F1 sont devenues la norme chez la plupart des semenciers (même certifiés bio) et pour de nombreuses espèces : tomates, courges et courgettes, maïs, carottes... Sans rentrer dans le détail de cette technique d'obtention de nouvelles variétés découverte il y a plus d'un siècle, il faut souligner qu'elle se base sur l'affaiblissement génétique systématique des plantes. En effet, dans le but d'améliorer un caractère précis lié par exemple au rendement, à la précocité ou à la résistance aux "maladies", les sélectionneurs créent des "lignées pures" au patrimoine génétique très restreint. En croisant deux lignées pures de gènes différents, les sélectionneurs obtiennent ces fameux "hybrides F1". Ces hybrides, en plus de posséder les caractères pour lesquels ont été sélectionnés leurs "parents", présentent en général une vigueur particulière. Comme si, après avoir été appauvrie pendant de nombreuses générations, la diversité génétique retrouvée par la génération F1, suite au croisement, apportait un tel soulagement à la plante que celle-ci se trouve "régénérée". Mais cet effet s'estompe dès la génération suivante, raison pour laquelle les variétés hybride F1 ne peuvent pas être utilisées pour produire soi-même des semences. Les plantes issues de croisement entre plantes de variété F1 seront très hétérogènes et, théoriquement, la moitié d'entre-elles devraient être particulièrement affaiblies car ressemblantes aux "lignées pures "qui en sont à l'origine (c'est à dire leur "grands-parents").
     
    Outre cette question de la non-reproductibilité, les voies de sélection auxquelles sont soumises les plantes pour la création des hybrides F1 devraient à elles seules nous convaincre de nous tourner vers des variétés issues de la sélection aux champs des meilleures plantes. Cette sélection dite «massale», permet encore aujourd'hui l'obtention de nouvelles variétés par certains semenciers avisés.

    Retenons également que depuis quelques années les semenciers utilisent une manipulation des cellules pour obtenir des plantes mâles stériles afin de produire à moindre coût les "lignées pures" à l'origine des hybrides F1. Cette technique, dite CMS (stérilité mâle cytoplasmique) est particulièrement appliquée aux crucifères (choux, colza, radis...). Elle n'est juridiquement pas considérée comme un OGM, alors qu'il s'agit bien de contraindre en laboratoire une cellule à accepter d'intégrer un élément qui lui est étranger. De ce fait, il n’existe pas d’obligation d’étiquetage signalant des semences ou des produits issus de cette manipulation.
     

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  • Chaque année, en fin d'hiver, tous les jardiniers épient l'apparition des premières fleurs et bourgeons.

    Et on ne s'en lasse pas...! Le spectacle est peut-être déjà vu, mais qu'importe .

    Même les choux chinois montent à graines et c'est joli .

    Bis repetita placentBis repetita placentBis repetita placentBis repetita placentBis repetita placentBis repetita placent


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  • Même si, officiellement, ce n'est pas encore le printemps, le jardinier (res)sent que ça change.

     Here comes the sunHere comes the sun

     

    Beaucoup de bricolage également cet hiver et notamment, remplacement complet de la pergola, à l'arrière de notre bâtiment.

    Tous les matériaux pour construire ce genre de structure sont facilement accessibles et surtout très faciles à mettre en oeuvre par un bricoleur moyen.

    Déplacement du four à pain vers le mur .

    Pour les curieux, nous avons utilisé des SLS 38*58mm sur lesquels sont fixés des profilés aluminium. Théoriquement, je devais employer des supports en bois plus importants, mais le poids des plaques de polycarbonate 16 mm est tellement faible ( 2,5 kg/m² ) que l'SLS 38/58 est suffisant. La seule inconnue est le poids de la neige....

    Calculez vous-même le coût de cette pergola et vous constaterez qu'elle revient au 1/3 du prix d'une toute-faite. De plus, le plaisir du DoItYourself yes

    Here comes the sun


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  • Ces photos ont été prises par le photographe Vincent Botta pour illustrer le second livre sur les Jardins en Pays de Liège.

    Un peu de baume au coeur de cette fin d'hiverUn peu de baume au coeur de cette fin d'hiverUn peu de baume au coeur de cette fin d'hiverUn peu de baume au coeur de cette fin d'hiverUn peu de baume au coeur de cette fin d'hiverUn peu de baume au coeur de cette fin d'hiver


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